Piscine

Plus de 60% des piscines publiques françaises ont plus de 25 ans. Cela explique en partie le déficit annuel moyen de ces établissements. Dans son rapport de 2018, la cour des comptes  se penche sur la gestion des piscines et des centres aquatiques et nous révèle qu’ils sont en moyenne déficitaires de 640 000 € par an. 

Les piscines ont une mission de service publique d’importance, et c’est également à ce titre que la lutte contre les gaspillages doit devenir une priorité. 

Une part importante des frais de fonctionnement est allouée à l’hygiène et au maintien de la qualité de l’eau des bassins. Les piscines doivent notamment lutter contre les chloramines et autres sous produits de désinfections. 

Les chloramines proviennent de la réaction du chlore libre avec des matières organiques  – sueur, salive, peaux mortes…-  et sont à l’origine de l’odeur de chlore très désagréable et donne cette sensation d’irritation des yeux. Les chloramines sont également responsables de maladies respiratoires chez les maîtres-nageurs. 

Les technologies actuelles nous permettent de diminuer les taux de chloramines et de respecter les normes en vigueur. Oui, mais à quel prix ? La plupart des solutions utilisées sont curatives : installation de déchloraminateurs, augmentation de l’apport en eau par baigneur, vitesse de renouvellement de l’air… Outre les prix des installations, leur fonctionnement ont un coût énergétique important. 

L’ARS impose à minima d’apporter 30 litres d’eau neuve par baigneur dans les bassins. De nombreuses piscines sont obligées d’apporter 90, 100, 150, 170 litres par baigneur pour limiter la formation de chloramines. Pour une piscine moyenne, cela représente des milliers de m3 d’eau ! Il faut compter entre 8 et 9 € pour 1 m3 d’eau chauffée chlorée apportée dans le bassin. 

Comment lutter plus efficacement contre les chloramines ? La solution est simple et connue de tous. En effet, les matières organiques sont en majorité apportées par les baigneurs et facilement éliminables par une douche savonnée avant baignade. 

En seulement 2 minutes de douche, l’apport de matière organique dans l’eau est fortement réduit et permet mécaniquement de diminuer les actions curatives de traitement de l’eau et de l’air. Prendre une douche avant baignade permet de réduire l’apport en eau neuve dans le bassin et préserve ainsi la ressource en eau. 

Prendre une douche avant de se rendre dans les bassins permet d’améliorer la qualité de l’eau et de l’air et également de réduire la consommation d’eau neuve, d’énergie et de produits chimiques ! 

eddo propose une solution innovante qui redéfinit le parcours hygiène des baigneurs.